Le deux-roues motorisé : l’essayer c’est l’adopter !
Le 11 mai marque le début de la reprise d’activité pour beaucoup d’entre nous. Les transports devraient fonctionner mais pas de façon optimale, comme l’on constaté de nombreux usagers. Les dirigeants de la RATP et de la SNCF ont annoncé qu’ils ne pourraient assurer qu’à 60% la circulation des trains, RER ou bus, compte tenu des contraintes de limitation de sièges, de distanciation ou du manque de personnel disponible. Le nombre de places assises sera nécessairement réduit. La ville de Paris envisagerait même la fermeture de 60 stations de métro si le déconfinement s’opère mal. Donc autant vous dire que circuler dans Paris ne sera pas une partie de plaisir. Et bien que le gouvernement recommande vivement la marche à pied ou le vélo, cela pourrait devenir compliqué si tout le monde décide plutôt d’utiliser sa voiture. Par conséquent, le deux roues motorisés apparaît comme une alternative tout à fait convaincante, car il met fin à la promiscuité des transports en commun, aux dangers de la trottinette ou encore aux bouchons au volant !
Passer au deux roues nécessite cependant de connaitre la législation en vigueur. Certains véhicules se conduisent sans permis et d’autres, tels que les 125 cm3, nécessiteront l’obtention d’une rapide formation. Il est également important de réfléchir à un budget. Il faut aussi cibler son usage en fonction de la longueur de vos trajets quotidiens pour vous orienter dans votre choix : moto ou scooter, 2 ou 3 roues, thermique ou électrique ?
Peu importe le genre de deux roues que vous choisirez, après y avoir goutté, vous risquez d’être surpris par son coté addictif. Il vous sera alors très difficile de reprendre votre voiture !
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